Editorial
Bonjour à toutes et tous,
L’heure de la rentrée a aussi sonné pour les bénévoles de l’APCH.
J’espère que vous n’avez pas trop souffert de la chaleur et que vous n’avez
pas été touchés par les incendies.
Pour ce premier édito,
Je fais le voeu que la Covid ne vienne plus nous empêcher de mener nos actions
auprès des patients et leurs familles. La guerre en Ukraine qui a pour
conséquence l’augmentation des prix ne doit pas nous empêcher d’apporter
chaleur et réconfort aux patients de l’hôpital.
Nous sommes heureux de reprendre les séances de cinéma, l’atelier créatif,
la programmation de visites de musées et bien d’autres activités sur
lesquels nous travaillons, vos idées sont les bienvenues !
Comme à chaque rentrée, je vous rappelle que ce magazine est le vôtre,
n’hésitez pas à nous soumettre vos idées mais aussi racontez-nous vos
vacances réussies, le Point Carré se veut participatif alors si vous pouvez
donner de bonnes adresses pourquoi s’en priver.
Je ne peux terminer cet édito en vous recommandant de continuer à être
prudents car même si la guerre et les problèmes économiques monopolisent
l’information, la Covid bien que moins dangereuse continue de tuer
des personnes tous les jours.
Prenez soin de vous et de vos proches.
Mounir AL RAFEI
Ayant pris mes fonctions de responsable associative au sein de l’APCH le
1er septembre, c’est avec enthousiasme que je recueillerai vos idées et
suggestions aussi bien pour le Point Carré qui concerne un plus large public
que plus particulièrement avec les bénévoles, le personnel et les patients
de l’hôpital Raymond-Poincaré concernant les évolutions que nous
pourrons co-construire.
Des boites à idées sont à votre disposition à Netter et Widal pour répondre
aux mieux à vos attentes, vous pouvez aussi les envoyer par mail : cle5@wanadoo.fr
J’ai une bonne connaissance du monde du bénévolat de part mes
anciennes fonctions et un profond respect des bénévoles.
J’ai hâte de collaborer avec vous tous !
Je terminerai par une citation de Sherry ANDERSON qui résonne particulièrement
en moi :
« Si le bénévolat n’est pas payé ce n’est pas parce qu’il ne vaut rien mais
parce qu’il n’a pas de prix ! »
Cindy MARANDON